Nouvelles Règles dans les quartiers

Pour une égalité des chances entre les filles et les garçons
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Angouleme schema 10

Paliers de financement

5 000 €

Ciseau à lame verticale

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Une machine toute neuve pour équiper nos couturiers et couturières, avec la possibilité d'équiper 25 personnes de nos kits de protections périodiques lavables.

7 000 €

+ 25 personnes équipées

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En tout, 50 personnes équipées avec nos kit de protections périodiques lavables.

12 000 €

+ 50 personnes équipées

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En tout, 100 personnes équipées par nos kits de protections périodiques lavables.

15 000 €

+ 50 personnes équipées

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En tout, 150 personnes équipées par nos kits de protections périodiques lavables.

Le projet

 

 

 

150 kits aux jeunes femmes nécessiteuses

 

Un kit est composé d’un protège slip, une serviette jour, jour plus et nuit (de tailles et d’absorption différentes) et de leurs pochettes imperméables et inodores. Une culotte menstruelle de la marque bordelaise Goguette. Le tout dans un tote-bag avec impression textile d’un dessin de l’autrice angoumoisine Joy.

Tout ça ce sera par le biais du financement « J’adopte un projet »

 

 

Les professionnels partenaires de l’action afin de lever les tabous et les différents freins

 

 

Des filles et des garçons mobilisées par nos partenaires. Différents ateliers sur mesure seront conduits par des professionnels de santé sexuelle.

 

 

Création d’un livret par Joy, autrice, illustratrice et créatrice numérique angoumoisine engagée sur la question féminine en impliquant le public cible.

 

Et tout ça grâce à des aides financières allouées par Calitom et la région Nouvelle-Aquitaine

 

Le porteur de projet

Ouassila Karki, habitante de Basseau à Angoulême, est à l’origine du projet "Nouvelles Règles dans les quartiers" en lien avec Erwan Gouge, encadrant du pôle textile ARU et Isabelle Chasson, chargée de projet ARU et coordinatrice départementale de lutte contre la précarité menstruelle. 

Face au constat sans appel de différents établissements scolaires, collèges et Lycées ainsi que des Centres sociaux et des Maisons des solidarités, le trio de choc met tout en œuvre pour mener une action de lutte contre la précarité menstruelle auprès des plus jeunes. 

 

 

L’ARU, c’est l’association Régie Urbaine, structure d’insertion par l’activité économique engagée dans la lutte contre la vulnérabilité et les discriminations depuis 1995 au sein des quartiers prioritaires de Grand Angoulême. Durant l’année 2023, nous avons accompagné près de trois cent salariés en parcours d’insertion sur un de nos six pôles d’activité (Garage solidaire, maraîchage bio, propreté urbaine et des locaux, création et entretien des espaces verts, revêtement murs et sols, confection textile éco-responsable)

 

 

 

 

À quoi servira votre financement ?

 

Le financement obtenu servira à doter des adolescentes et jeunes femmes de Grand Angoulême, en kit de protections périodiques et culottes menstruelles lavables.

En lien avec différentes structures angoumoisines, dont la Mission Locale, le Centre Information Jeunesse et la Protection Judiciaire de la Jeunesse, nous visons à pourvoir 150 jeunes en situation de précarité.

Les protections et culottes menstruelles qui seront distribuées sont créées au sein de l’atelier confection textile de l’ARU. Conçues avec des tissus bio écocertifiés, en local dans une démarche sociale elles sont réutilisables et peuvent durer plusieurs années, contribuant ainsi à réduire considérablement la quantité de déchets et à préserver l'environnement. Exemptes de produits chimiques nocifs et de substances irritantes souvent présentes dans les protections menstruelles jetables, elles sont meilleures pour la santé.

 

 

 

Pourquoi nous choisir?

Cette vulnérabilité est souvent liée à un manque de moyens matériel et financiers. C’est également un tabou, un manque d’information en lien avec la santé et les produits d’hygiène. Ce phénomène est particulièrement préoccupant chez les plus jeunes.

Les conséquences de la précarité menstruelle sont à la fois psychologiques (manque d’estime de soi, stress, sentiment de honte …), mais aussi sociales (décrochage scolaire, sédentarité, renoncement au travail…).

 

 

Cette situation est préjudiciable pour au moins trois raisons : elle porte atteinte à la dignité des personnes, elle limite l’inclusion des filles et des femmes aux activités économiques et sociales, et elle est un facteur de risque pour la santé en cas de renouvellement insuffisant des protections.

 

 

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